C'est quoi une radio VHF ?
Une VHF, acronyme de radio très haute fréquence en français (Very High Frequency en anglais), est une radio qui fonctionne dans la bande 30 MHz - 300 MHz avec une portée de quelques dizaines de milles au maximum.
La radio VHF est le moyen de communication privilégié sur l’eau, que ce soit pour une balade en dinghy, en sortie familiale à la journée, en régate ou encore en navigation semi-hauturière de plusieurs jours. La VHF permet de rester en contact avec les centres de secours, de répondre à un message de détresse et joue un rôle primordial dans la sécurité de toutes et tous en mer.
Une VHF, acronyme de radio très haute fréquence en français (Very High Frequency en anglais), est une radio qui fonctionne dans la bande 30 MHz - 300 MHz avec une portée de quelques dizaines de milles au maximum.
Les VHF font partie des moyens de radiocommunication en mer des navires, au même titre que les radios à ondes courtes (radios BLU) qui offrent, elles, une portée allant de quelques centaines à quelques milliers de milles.
Les radios VHF suivent les normes internationales de communication radio et fonctionnent partout dans le monde pour :
- Communiquer avec des navires ou avec des stations radio côtières (ports, centres de secours, CROSS, etc.).
- Recevoir les avis d’urgence aux navigateurs et navigatrices (AVURNAV), les bulletins météo quotidiens du service météorologique responsable de la zone de navigation (Météo France en France) ainsi que les alertes météos (BMS ou bulletin météo spéciaux).
- Assurer une veille sur le canal de sécurité dédié (16).
- Émettre des appels de détresse et de sécurité simultanément à l’ensemble des navires et centre de secours de la zone de navigation.
- Recevoir les appels de détresse ou demandes d’assistance des autres navires de la zone de navigation.
La radio VHF est un dispositif qui utilise les ondes électromagnétiques pour communiquer sans liaisons physiques de radio à radio. Elle est constituée d’un microphone, d’un haut-parleur, d’un boîtier émetteur/récepteur et d’une antenne.
La portée de la VHF dépend de la puissance de son boîtier émetteur/récepteur et de la position en hauteur de l’antenne. En effet, compte tenu de la gamme de fréquence des VHF, vous devez être visible en ligne droite par votre interlocuteur ou interlocutrice (d’antenne à antenne) : avec une antenne placée en haut du mât, une VHF fixe permet d’atteindre les 20 à 40 milles de portée.
Simple d’utilisation, la VHF couvre l’essentiel des besoins en communication en mer des navigateurs et navigatrices, que ce soit pour la sécurité ou pour les échanges d’informations.
Obligatoire à bord pour les navigations à plus de 6 milles d’un abri, la VHF est un dispositif de communication plus fiable que le téléphone cellulaire en mer et de meilleure portée même en zone côtière. Elle permet de plus votre localisation par radiogoniométrie par les services de secours.
Certains modèles de VHF portables ainsi que tous les modèles de VHF fixes postérieurs à 2004 sont équipés du système ASN (Appel Sélectif Numérique ou DSC en Anglais). Disposant de leur propre GPS, ces radios VHF permettent, en appuyant sur un bouton d’urgence, d’envoyer automatiquement un message de détresse et de sécurité avec vos coordonnées GPS et les caractéristiques de votre embarcation vers les services de secours en mer et tous les navires de votre zone de navigation équipés de radios ASN.
La VHF participe à la sécurité de l’équipage en mer et il est conseillé d’embarquer au moins une VHF portable, quelle que soit la navigation envisagée.
Pour les navigations hauturières et les communications à plus grande distance, la VHF est complétée par un téléphone satellite ou une radio à onde courte (BLU).
Dans le cadre de la plaisance nautique, une VHF est soumise à trois types de réglementations : les obligations d’armement du navire, les exigences de qualification pour pouvoir opérer une VHF et la licence d’utilisation des fréquences hertziennes maritimes.
La division 240 fixe les obligations et recommandations d’armements pour la navigation de plaisance en France :
- À plus de 6 milles nautiques d’un abri (navigation semi-hauturière et hauturière) : une VHF fixe est obligatoire.
- À plus de 60 milles nautiques d’un abri (navigation hauturière) : une VHF portable étanche est obligatoire (en plus de la VHF fixe).
- Pour les navigateurs ou navigatrices solitaires : une VHF portable étanche est recommandée pour toutes les navigations.
Bien que l’ensemble des VHF fixes vendues de nos jours en France soient équipées de l’ASN, il n’y a pas d’obligation réglementaires à disposer d’une VHF avec ASN (appel sélectif numérique ou DSC en anglais).
L’utilisation des appareils de radiocommunication est réglementée en France. En ce qui concerne les VHF, la législation distingue deux cas dans les eaux territoriales :
- VHF portable sans ASN : aucun permis et aucune qualification spécifique ne sont demandés ;
- VHF portable avec ASN et VHF fixe (avec ou sans ASN) : l’utilisateur de la VHF doit détenir à minima le permis de conduire des
bateaux de plaisance ou le CRR (certificat restreint de radiotéléphoniste).
Dans les eaux internationales, un certificat d’opérateur radio tel que le CRR est obligatoire pour opérer une VHF avec ou sans ASN, qu’elle soit portable ou fixe.
En France, le CRR est délivré par l’ANFR (Agence nationale des fréquences) après la réussite d’un examen sous forme de questionnaire à choix multiples. Le CRR se décline en « fluvial », pour la navigation dans les eaux intérieures françaises et « maritime » pour la navigation dans les eaux françaises et internationales.
Vous devez disposer d’une licence, délivrée par l’ANFR, pour utiliser une VHF (avec ou sans ASN, portative ou fixe) à bord d’un navire. 👉 https://www.anfr.fr/gerer/radiomaritime/licence-mmsi
Valable un an et renouvelée automatiquement chaque année, la licence est gratuite et vous autorise à exploiter les fréquences hertziennes maritimes. Elle est associée à votre embarcation et vous en faites la demande auprès de l’ANFR en remplissant un formulaire.
👉 https://www.anfr.fr/gerer/radiomaritime/licence-mmsi
La licence vous attribue un identifiant unique (numéro MMSI ou indicatif) qui est diffusé en particulier auprès des centres de coordination des secours avec les caractéristiques de votre navire. Que ce soit en France ou à l’étranger, elle est exigible à tout moment par les autorités compétentes.
Le numéro MMSI doit être enregistré dès réception dans tous les équipements concernés de votre bateau : VHF fixe, VHF portable ASN, BLU ASN, transpondeur AIS, balise Cospas Sarsat, etc.
Les questions que vous devez vous poser avant de choisir votre radio VHF: Fixe ou portable? Quelle puissance? Avec piles ou batterie?...
Les VHF portables ne demandent aucun équipement supplémentaire. Elles sont complètement indépendantes de l’électronique du navire et peuvent être étanches ou encore flottantes. D’une puissance inférieure à 6 watts, elles offrent les mêmes fonctionnalités de base que les modèles fixes à l’exception de l’ASN qui est optionnel. Leur autonomie de fonctionnement est typiquement de 8 à 20 heures suivant la capacité de la batterie ou des piles. De portée plus faible que les fixes, elles sont pratiques lors des déplacements en annexe ou pendant les manœuvres pour garder un contact radio.
Les VHF fixes sont montées à poste, généralement au niveau de la table à carte ou de la descente de cockpit, et sont associées à une antenne installée en hauteur, souvent en tête de mât. Elles ont une puissance maximum de 25 watts pour une portée de 20 à 40 milles (et plus suivant les installations) et toutes disposent de l’ASN. La VHF fixe est typiquement alimentée par les batteries de service de votre embarcation.
Plus versatile que les modèles portables, une VHF fixe peut disposer, entre autres de :
- Commande déportée pour être utilisée depuis le cockpit ;
- Connexion audio pour haut-parleurs pour être audible partout dans le navire ;
- Prise de casque pour une meilleure écoute ;
- Transpondeur AIS (Automatic Identification System) : reconnaissance automatique des vaisseaux dans le voisinage avec identification, position, cap et vitesse ;
- ou encore être connectée aux autres systèmes de votre embarcation via la connectique du protocole NMEA0183 ou NMEA2000 : antennes, GPS marin, sondeur GPS, lecteurs de cartes, anémomètre, etc.
La puissance des VHF marines est limitée par la loi et se mesure en watts. Elle conditionne la portée en émission/réception des appareils, plus elle est élevée plus la portée est grande :
- VHF portable : maximum 6 watts de puissance, de 5 milles à 10 milles de portée ;
- VHF fixe : maximum 25 watts de puissance, de 20 à 40 milles de portée en fonction des installations.
La VHF reste allumée en permanence pendant les navigations pour recevoir les messages urgents (type BMS) et de détresse des navires dans votre zone de navigation. Si vous ne disposez que d’une VHF portable à bord, son autonomie est primordiale pour votre sécurité et celle des autres bateaux. Elle est typiquement de 8 heures à 20 heures suivant les modèles.
L’alimentation des VHF portables peut être assurée par des batteries rechargeables, des piles (rechargeables ou non) ou offrir les deux options. La batterie se recharge généralement via un chargeur 12 V (type prise allume cigare) alors que les piles peuvent utiliser un chargeur qui se branche sur le 220 V.
Les modèles proposant les deux types d’alimentations offrent plus de possibilités pour disposer d’une VHF portable au maximum de son autonomie.
Les VHF sont équipées d’un écran LCD qui peut afficher plusieurs informations simultanément suivant les modèles (en particulier les VHF fixes) : canal en cours d’utilisation, coordonnées GPS, l’heure, la puissance d’émissions, etc.
Parmi les principales options disponibles :
- Écran tactile : facilite la navigation dans les menus de la VHF ;
- Écran couleur : permet par exemple d’afficher des informations graphiques type AIS avec plus d’options de couleurs ;
- Écran rétroéclairé : pour une consommation plus faible.
Les VHF suivent dans ce domaine la norme internationale IEC 60529 de la Commission Électrotechnique Internationale qui définit l'indice de protection d'enveloppe « IP ». Il s’exprime sous la forme « IPXY » : les lettres « IP » sont suivies de deux chiffres (ou indices de protection) où X représente le niveau de protection contre les corps solides (poussières, sable, etc.) et Y celui contre les liquides dont l’eau.
Pour les VHF marines, il est fréquent que seule la protection contre les liquides soit évaluée. ce qui conduit à des notations de type IPX5, IPX6, etc.
La VHF fixe est normalement à l’intérieur du bateau et n’est pas soumise aux éclaboussures. En revanche, une commande déportée dans le cockpit est soumise aux intempéries et à d’éventuelles déferlantes, un indice de protection 5 ou 6 est le minimum dans ce cas.
L’idéal pour une VHF portable est l’étanchéité totale : indice 7 ou 8.
Les fonctionnalités suivantes sont disponibles en standard ou en option suivant les modèles de VHF et peuvent être associées à un numéro MMSI :
- AIS : émission/réception automatiques d’informations relatives aux navires dans le voisinage (identité, position, vitesse, cap, etc.), permet aux navires émetteurs d’être visibles quelles que soient les conditions de mer ou météo et d’éviter les collisions.
- ASN : permet l’envoi automatique, sur simple pression, d’un bouton d’un message de détresse avec la position GPS, les caractéristiques du navire et la situation de détresse, il permet aussi de contacter directement un navire via son identifiant MMSI.
- ATIS : permet de passer la VHF en mode fluvial, en navigation fluviale la puissance de la VHF doit être réduite et chaque transmission envoie automatiquement le numéro d'identification de l'utilisateur (code ATIS).
- Brouillage des conversations : un brouilleur vocal interne permet de sécuriser, sur un canal, les communications entre les radios émettrices et réceptrices.
- Feu de détresse : un feu à éclats ou stroboscopique permet de repérer la VHF de jour comme de nuit, suivant les VHF il se déclenche automatiquement au contact de l’eau même quand la VHF est éteinte.
- MOB : fonction homme à la mer (Man Over Board) qui permet d’enregistrer la position du navire au moment de la chute d’un équipier à la mer pour faciliter la récupération ; suivant les modèles, en cas de chute à la mer d’un membre d’équipage portant un bracelet MOB connecté à la VHF, celle-ci peut automatiquement enregistrer les coordonnées et déclencher une alarme ainsi que l’envoi d’un message de détresse.
- Récepteur FM : récepteur FM intégré.
- Récepteur GPS : VHF équipée de son propre GPS, toutes les VHF ASN en sont équipées.
- CTCSS/DTCS : offre un mode veille silencieux et permet de partager un canal avec plusieurs groupes d’utilisateurs.
- Canaux PMR : permettent de communiquer sur les fréquences PMR (professional mobile radio) avec des dispositifs de communication professionnels type talkies-walkies.
- Récepteur GNSS : le type de récepteurs GNSS (Géolocalisation et Navigation par un Système de Satellites), ou encore réseaux satellitaires de positionnement, utilisés par la VHF. Par abus de langage on appelle GPS (marque commerciale américaine) le dispositif de positionnement par satellites, mais le réseau de satellites utilisé (GNSS) peut être GPS (américain), Glonass (russe), Galileo (européen), etc.
- Balayage sélectif (TAG) : marquage des canaux à balayer/scanner avec la fonction TAG.
- Double veille : permet de veiller sur le canal 16 tout en affichant sur la VHF un autre canal.
- Triple veille : permet de définir un canal préférentiel et de veiller simultanément sur le canal 16, le canal préférentiel et le canal affiché à la VHF.
L’accessoire indispensable de la VHF fixe est l’antenne. Suivant les modèles de VHF, elle n’est pas systématiquement fournie et la section « VHF fixe : comment l’installer à bord ? » vous guide dans le choix de votre antenne VHF.
Pour votre VHF portable, si votre modèle n’est pas étanche, prévoyez une housse de protection.
De même, un support de VHF portable est pratique pour la ranger lorsque vous ne l’utilisez pas : en plastique ou en bois, il se fixe sur un panneau pour avoir votre VHF toujours à portée de main.
Avant toute installation définitive d’une VHF fixe, vérifiez que le GPS de la VHF fonctionne correctement à l’emplacement prévu. Si ce n’est pas le cas, changez d’emplacement ou prévoyez de connecter un GPS externe à la VHF.
Les VHF fixes sont fournies avec des accessoires pour différents types d’installation :
- Montage en surface sur panneau de commande : si vous disposez d’un espace conséquent, un étrier (généralement livré avec la VHF) permet d’installer la VHF sur un panneau de commande ou une table à carte.
- Montage suspendu : pour gagner de la place et optimiser la répartition des instruments autour de la table à carte, la VHF est installée en hauteur grâce à l’étrier.
- Montage encastré : comme pour le montage des autoradios en voiture, la VHF est encastrée dans un panneau avec suffisamment d’espace derrière pour accueillir la connectique (typiquement le panneau de commande de la table à carte). Vérifiez si la VHF est livrée avec les accessoires de fixation ou s’il faut les commander à part.
- Montage caché ou VHF blackbox : ce type de montage nécessite une VHF de type blackbox où l’écran et l’ensemble des commandes de la VHF sont réunis sur une ou des stations de commande déportées et reliées via des connexions filaires au corps de la VHF (boîtier émetteur/récepteur). Le boîtier principal de la VHF peut être installé derrière une cloison et seuls les microphones/stations de commandes sont apparents avec un encombrement similaire à une VHF portable.
L’antenne VHF est généralement vendue séparément et se connecte au boîtier émetteur/récepteur via plusieurs mètres de câble coaxial pour permettre son positionnement optimal sur votre navire. Pour maximiser la portée, installez votre antenne VHF le plus en hauteur possible :
- Sur les voiliers : elle est généralement montée en tête de mât et une antenne courte (1m-1,5m) avec un gain de 3 dB est suffisante.
- Sur les bateaux à moteurs : le point haut de l’embarcation est souvent plus bas que sur les voiliers, aussi pour améliorer la portée choisissez une antenne VHF longue (installez une base inclinable pour la coucher si besoin) avec un gain d’au moins 6db.
Intégrez votre VHF fixe à l’ensemble de votre système électronique grâce au protocole NMEA (NMEA0183 ou le plus récent NMEA2000). Il permet par exemple de récupérer les données AIS de la VHF pour un affichage sur votre lecteur de carte, de connecter un GPS supplémentaire à votre VHF si besoin ou d’utiliser les données GPS de la VHF sur un autre dispositif électronique, d’afficher les données de navigation sur l’écran de la VHF, etc.
La majorité des VHF fixes dispose d’une sortie audio pour connecter des enceintes extérieures. Pour entendre la VHF lorsque vous êtes dans le cockpit extérieur, installez-y des haut-parleurs ou branchez la sortie audio de votre VHF sur le système audio de votre bateau.
Certains modèles de VHF fixe acceptent des unités de contrôle déportées, installez-en une dans le cockpit pour disposer de votre VHF lorsque vous êtes à la barre.
Une radio BLU (bande latérale unique) est une radio à onde courte dont la portée est beaucoup plus importante que la radio VHF. Suivant les installations, le moment de la journée ou encore les conditions atmosphériques, elle permet des communications transocéaniques sur des distances de plusieurs milliers de milles.
La réglementation pour émettre avec une radio BLU est plus contraignante que pour les VHF, et vous devez détenir un certificat d’opérateur radio (CRO ou CSO) d’un niveau supérieur au certificat CRR. D’autre part, l’installation et la mise en œuvre d’un poste radio BLU émetteur/récepteur est plus complexe que pour une VHF et le budget peut être supérieur d’un facteur 10 : comptez en centaines d’euros pour une VHF et en milliers d’euros pour une installation BLU complète.
En revanche, pour recevoir la météo, les BMS, les NAVTEX (NAVigational TEleX Messages ou messages en radiotélétype ou RTTY), etc. en mer loin des côtes (>60 milles), un récepteur BLU est suffisant. Simples d’utilisation et d’installation, ils sont aussi dans des budgets beaucoup plus faibles de l’ordre de quelques centaines d’euros.
Les radios BLU ont longtemps été les seuls moyens de communication en haute mer abordables par la plupart des plaisanciers, elles sont de nos jours concurrencées par les téléphones satellites. Même si les coûts d’utilisation sont plus importants (obligation de souscrire à un abonnement ou d’acheter des unités d’appel, alors que l’usage de la BLU est gratuit), les coûts d’achat et d’installation sont généralement plus faibles. D’autre part, la mise en œuvre est simple et ne nécessite aucun permis ou certificat.
Dépoussiérez votre VHF fixe comme tout appareil électronique. Vérifiez régulièrement que les connexions ne montrent pas de traces de corrosion, en particulier au niveau de l’antenne VHF.
Pour les VHF portables étanches, procédez au moins une fois par an à un grand nettoyage pour ôter le sel :
- Démontez l’antenne et le bouton de mise en service.
- Trempez la VHF dans de l’eau douce pour dissoudre le sel et séchez-la.
- Rincez l’antenne et le bouton de mise en service.
- Remontez l’antenne et le bouton de mise en service avec un peu de graisse (type graisse à winch).
La radio VHF est un outil indispensable de votre sécurité, qu'importe votre niveau. Et bien qu'elle ne soit obligatoire qu'à plus de 6 milles, rien ne vous empêche de l'installer ou de choisir un modèle portable, pour toujours l'avoir à portée de main, surtout si vous partez en solo. D'autre part, si vous partez naviguer à l'étranger, renseignez-vous bien en amont sur les obligations de sécurité locales.
Nous espérons qu'après cet article, vous choisirez celle qui correspond le mieux à vos besoins. Et n'oubliez pas de bien l'entretenir pour pouvoir l'utiliser de nombreuses années !
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