Gala de danse

La période des galas de danse s’étend traditionnellement de mai à juin. Les galas et spectacles de fin d’année sont le reflet d’une année d’apprentissage et de pratique. Symboliquement, ils permettent aux écoles de danse de restituer le travail de leurs élèves au travers de chorégraphies auprès d’un public. C’est l’occasion pour les danseurs d’exprimer leur créativité et de vivre leurs émotions sur scène.

Lors d’un gala de danse classique, la danseuse est souvent représentée en tutu. Le tutu plateau, généralement en tulle, se porte au-dessus d’un justaucorps, tandis qu’il existe des tutus intégrant directement un justaucorps. Néanmoins, s’il est symbolique, le tutu n’est pas l’unique option; le justaucorps de danse ou la tunique peuvent tout à fait convenir à de nombreuses chorégraphies. Comme en cours de danse, tout au long de l’année, collants et chaussons de danse viennent compléter la tenue de la danseuse. Selon leur niveau, il peut s’agir de demi-pointes ou de pointes de danse. La pointe de danse classique aura été découverte en classe de niveau intermédiaire. Les collants et les chaussons de danse peuvent être déclinés selon différents coloris, afin de suivre parfaitement la carnation de la peau et accompagner le mouvement de la danseuse jusqu’au bout des orteils. Quant à la coiffure, le chignon est un incontournable en danse classique. Élégant et résistant aux mouvements, il reste la coiffure emblématique.

Pour les représentations de danse moderne jazz, l’ensemble short et brassière reste un incontournable. Des sous-vêtements de spectacle, sans couture, adaptés à la couleur de la peau se portent très discrètement sous tous les costumes et sont appréciés de toutes les danseuses en leur garantissant une réelle liberté de mouvements. Les danseuses peuvent alors danser en confiance. Tenue fluide ou prêt du corps, tous les choix sont permis pour le costume du gala de danse moderne ou de danse contemporaine et laissent libre court à la créativité.

Les pédilles, communément appelées “string de pied”, sont un accessoire indispensable pour protéger les pieds de l’échauffement causé par les glissades lorsque le danseur effectue sa prestation pieds nus. Ils existent aussi en différents coloris.

Des chaussons de danse moderne ou des bottines de jazz, généralement noires, s’offrent aux danseurs qui ne souhaitent pas danser pieds nus.

Lors des passages au sol, très présents en danse contemporaine, les genouillères sont de véritables alliés pour les danseurs, qu’elles soient utilisés lors des répétitions, en amont de la représentation, ou le jour-J sous un costume. Elles permettent de limiter les chocs liés aux impacts.