Tenue de taekwondo : les critères à prendre en compte pour choisir son dobok
Le kimono de taekwondo est appelé dobok. À la différence du karatégi (kimono de karaté) et du judogi (kimono de judo), le haut du dobok possède un col en V fermé et s’enfile par la tête. Ce col est blanc chez les débutants, puis noir à partir de la première ceinture noire (première dan).
Contrairement au judo, l’adversaire ne saisit pas le kimono lors des combats (sauf pour certaines pratiques de self-défense). La couleur blanche du dobok représente des valeurs comme l’unité, l’intégrité et l’humilité. Le taekwondo est en effet un art martial, qui vise à cultiver aussi bien la force physique que la force intérieure. Différents critères sont importants pour se sentir à l’aise dans un kimono de taekwondo : la résistance du tissu, sa composition et sa coupe.
Le pratiquant a besoin de souplesse pour exécuter des mouvements avec précision, notamment pour frapper à des hauteurs allant de 1,70 m à 1,90 m. Cette flexibilité lui permet de se sentir à l’aise et libre dans son bas de Dobok, essentiel pour une pratique fluide et efficace.