Balises Bateau Et Individuelles

Retrouvez l’ensemble de nos balises de détresse. On en retrouve deux types : la balise du navire et la balise personnelle. La balise du bateau, aussi appelée radio-balise de localisation des sinistres, utilise la technologie EPIRB et sert à avertir les secours lors d’un naufrage. Elle est d’ailleurs obligatoire pour la navigation de plaisance hauturière (à plus de 60 milles d’un abri). La balise personnelle, aussi appelée balise PLB, est optionnelle et est à porter sur soi.

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Balises de détresse


L’intervention des secours en mer

En mer, lorsqu’une grave avarie ou une blessure importante survient à bord, l’équipage peut être amené à contacter les secours et demander leur intervention.

Il utilise alors la VHF (canal 16) ou un téléphone portable en zone côtière (196) et contacte le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) le plus proche. Il décline son identité à son interlocuteur, indique la nature du problème rencontré à bord, et indique son positionnement pour pouvoir être secouru rapidement.

Le Cross coordonne ensuite les opérations de secours. C’est le plus souvent la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM) qui intervient, mais le centre peut aussi demander le concours d’autres acteurs : les Affaires maritimes, la Marine nationale, l’armée de l’Air, la douane, la gendarmerie, les pompiers, la sécurité civile...

En cas de besoin, il peut aussi faire appel à un navire présent sur la zone pour obtenir son assistance.


La balise de détresse, un outil essentiel

Lorsque la sécurité ne peut plus être assurée à bord et que le navigateur doit quitter le navire, ou quand un membre de l’équipage est tombé à l’eau ne peut remonter, la balise est un équipement qui peut sérieusement faire la différence.

Elle fonctionne normalement partout dans le monde. Le signal envoyé est transmis via le réseau satellite et rend souvent l’intervention plus rapide. La balise de détresse continue d’émettre jusqu’à l’arrivée des secours, ce qui peut faciliter la localisation du bateau ou d’une personne tombée à l’eau, en train de dériver.

Il faut compter entre 15 et 45 minutes pour qu’un signal de détresse soit pris en compte. Toutes les balises ne sont pas équipées des mêmes composants, ce qui peut faire varier le délai de prise en charge.


L’EPIRB, associée au navire

La balise de détresse EPIRB est obligatoire à bord en cas de navigation hauturière, à plus de 60 milles d’un abri. Rattachée administrativement à un bateau, elle communique le MMSI, ou l’identité du navire, dès l’envoi du signal. Les services de secours obtiennent directement les informations concernant le bateau auquel ils doivent porter assistance, et peuvent intervenir avec plus de précision.

A partir du lancement du signal, l’autonomie d’un équipement EPIRB est généralement comprise entre 48 et 96 heures. La prise en charge d’un signal de détresse est plus longue avec un équipement qui n’est pas doté d’un GPS.


La balise de détresse PLB, personnelle

La balise PLB fonctionne de la même manière, mais n’est pas associée à un navire : elle appartient à un utilisateur, et ce sont ses données qui sont transférées.

Il n’y a pas d’obligation à l’avoir à bord, mais c’est un dispositif de sécurité particulièrement pratique et prisé des navigateurs en solitaire, en complément d’un équipement EPIRB. Plus petit qu’une balise de type EPIRB, le dispositif PLB peut être rangé directement dans le gilet de sauvetage. Une fois le signal d’alerte déclenché, l’autonomie est d’environ 24 heures. Pour diminuer le risque de perte de l’équipement, on utilisera une housse flottante.

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